parler de vos lectures, de mes lectures....
« … On ne fait pas ce qu’on veut, tout le monde sait cela. Ce serait trop facile. On serait trop heureux, peut-être. On risquerait d’y prendre goût. On ne voudrait plus pleurer ni paniquer. Cela ruinerait les psychanalystes. » Billet à venir...
Lire la suite"On ne raisonne pas le chagrin, on le voit déferler et on attend qu'un jour une vague l'emporte au loin". "Il faut être en paix avec le passé pour aller vers l'avenir, il faut avoir été triste pour entendre la musique, et être en paix avec soi-même pour...
Lire la suite« C'est ça qui est bien avec le ridicule, c'est un peu comme un verre : quand on a fait le plein, on peut en rajouter, ça déborde et ça coule, on ne risque plus rien. » Billet à venir...
Lire la suite« Pas des psychanalystes ni des acupuncteurs ou ce genre de gourous. Des vrais docteurs qui localiseraient le chagrin, le désinfecteraient. Ça ferait mal un bon coup. Puis, ils le recouvriraient d'un genre de pâte rose comme un bonbon ou une guimauve...
Lire la suitePour finir cette semaine spéciale interview : une petite phrase sortie d'un des romans de l'auteur invité mercredi dernier : « - Chéri, tu es dans le Sud ! C'est comme ça ! Quand tu ne parles plus, c'est que tu es mort ou que tu fais la gueule ! »
Lire la suiteDeuxième billet consacré à la nouvelle chronique de ce blog. C'est l'occasion pour vous faire (re)découvrir un des premiers romans chroniqués sur ce blog, celui d'Alice Steinbach : Un matin je suis partie, dont le billet se trouve ici. « Certaines années...
Lire la suiteEn attendant le billet -qui arrivera d'ici quelques jours- voici une phrase notée au cours de ma découverte du nouveau roman de Tatiana de Rosnay : Rose. Avec ce billet, j'inaugure une nouvelle chronique sur ce blog, oui, je pense que de temps en temps...
Lire la suite